Je me souviens de Barbidule, ma petite copine du jardin d’enfants de l’école 7, avenue du Bois de la Cambre. Je lui préparais des pâtés de sable et elle acceptait de jouer à touche-touche dans les buissons.
Je ne me souviens pas de Barbidule mais bien de l'école 7 et du bonnet d'âne régulièrement porté en 1ère année chez l'ami Piron (plus certaine de son nom, avec les années les neurones sont défaillants). Je me souviens également de ce charmant surnom dont de duysophone ;o) Anne de la chaussée de Boondael (enfin y a longtemps ;o)
Je me souviens aussi de Anne qui habitait un peu plus haut dans la rue et qui n'y jouait pas beaucoup comme nous le faisions avec les garçons du quartier. Son papa était instituteur dans notre école.
Ces textes ont été concoctés d'après divers ingrédients d'un melting-pot (en bruxellois d'Outre-manche) né du glanage d'un flâneur-cueilleur, ma pomme, auprès de Bruxellois rencontrés au gré de mes pérégrinations boulevardières, d'anecdotes personnelles et, dans un esprit surréaliste assumé, d'inventions piquetées de souvenirs et d'inspirations. Si les "souvenirs" sont exact, les noms les signent sont évidemment faux.
Bonne lecture. N'hésitez pas à dévoiler vos propres souvenirs et commentaires si cela vous vient comme une envie de partager.
Pierre Duys est peintre, auteur, plasticien et metteur en scène. Je suis l'auteur de quatre ouvrages (Les Dauphins Ivres, Les vacarmes de la cité de l'Escaut ou Geraas uit Antwerpen édité à La Mesure du Possible et Parfois au Bout des Routes édité aux Carnets du Dessert de Lune et Je me souviens de Bruxelles au Castor Astral et Rostre à La Houle), d'une dizaine de films expérimentaux, de blogs et de peintures fraîches (expos en cours voir le site) !
2 commentaires:
Je ne me souviens pas de Barbidule mais bien de l'école 7 et du bonnet d'âne régulièrement porté en 1ère année chez l'ami Piron (plus certaine de son nom, avec les années les neurones sont défaillants). Je me souviens également de ce charmant surnom dont de duysophone ;o)
Anne de la chaussée de Boondael (enfin y a longtemps ;o)
Je me souviens aussi de Anne qui habitait un peu plus haut dans la rue et qui n'y jouait pas beaucoup comme nous le faisions avec les garçons du quartier. Son papa était instituteur dans notre école.
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